A la fin, on se recueille devant le noir, et il vous envahit. On reste silencieux devant les flammes ou un foyer. Là, sous vos yeux fixes et fiévreux, il se dédouble et brille comme un coeur dans sa passion : "L'âme noire, près du rouge en flammes"
Jacques Laurans, Pierre Soulages, trois lumières // Ed. Verdier poche